Siège 7A - Sebastian Fitzek - Editions de L'Archipel


Synopsis : 


Pour sauver sa fille, un psychiatre doit provoquer le crash de l'avion à bord duquel il a pris place. Le douzième suspense de Sebastian Fitzek, numéro 1 du thriller en Allemagne.

IL EXISTE UNE ARME LÉTALE QUE CHACUN PEUT EMBARQUER SANS ENCOMBRE À BORD D'UN AVION.

AUCUN CONTRÔLE AU MONDE NE PEUT LA DÉTECTER...

Un vol de nuit Buenos Aires-Berlin.

Une passagère fragile psychologiquement.

Un psychiatre contraint de la manipuler afin de provoquer le crash de l'appareil. À défaut, sa fille, la seule famille qu'il lui reste, mourra...

Mon avis :

Alors qu'il s'installe dans l'avion qui le ramènera a Berlin où sa fille, Nele, doit accoucher d'un instant à l'autre, le docteur Mats Krüger reçoit un étrange coup de fil. Un homme prétend avoir enlevé Nele et menace de la tuer elle et son bébé si Mats ne parvient pas a pousser une personne présente à bord de l'appareil a se suicider en faisant se crasher l'avion.  Nous voilà donc parti pour un huis clos haletant à la Fitzek. 

Comment Mats va-t-il s'y prendre pour respecter la demande de cet homme mystérieux ? Pourquoi celui-ci souhaite-il que l'avion s'écrase ? Qui est cette personne qu'il doit malmener au point de l'inciter a vouloir en finir en emmenant les autres avec elle ? Le compte a rebours commence. 14 longues heures de vol qui vont sembler interminable au docteur Krüger, phobique des voyages en avion. 

L'histoire est intéressante et l'intrigue très prenante. Les chapitres courts donnent du rythme et rendent le récit addictif. Les personnages de Mats et sa fille sont attachants et on se prend au jeu de vouloir savoir comment tout va se terminer pour eux. L'auteur a également su me berner avec quelques twists bien amenés que je n'ai pas vu venir. Dommage que le style ne soit pas toujours au rendez-vous. La fin, quant-à-elle m'a semblée nous être résumée rapidement. 

Vous l'aurez compris, j'ai passé un bon moment de lecture avec ce roman mais ce n'est pas un coup de coeur. 

Merci aux éditions de L'Archipel pour cet envoi.
 

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